jeudi 1 août 2013

La lutte silencieuse



 J'ai à peine arrivé à vingt ans de mon âge quand mon père est mort, le maître d'une famille de trois enfants, dont j'étais le second après une sœur qui m'a précédée de trois ans. Cette période me séparait de mon jeune frère. Ce deuil achevé la tragédie de notre petite famille qui s'est entouré d'orphelinat et enveloppé dans la confusion sachant que ma mère est morte aussi avant dix ans de la mort de mon père.

Ainsi, le destin m'a fait contre ma volonté d'être le pilote d'un navire soumis à des vents de tous les côtés. Cet état de fait allumé dans mon moi intérieur une révolution de confusion et créé dans mon âme courants de peur et d'inquiétude. J'avais l'habitude de faire rage en entendant un mot ou une question, j'avais l'habitude de s'énerver en entendant des sons. Ma préparation pour affronter n'importe quel événement a été dissoute et la peur du lendemain dévoré les restes de ma volonté et de résolution, malgré l'héritage financier précieux laissé par notre défunt père. Peut-être que ma résolution d'aliéner l'argent de l'équilibre général de la vie est la base qui m'a éloigné de la possibilité d'utiliser cette fortune dans la direction de ce lourd fardeau que mon défunt père, la miséricorde d'Allah soient sur lui, m'a légué.

Le clan auquel nous appartenons n'était pas inactif ou humble. Il possédait influence et de pouvoir qui l'a rendu terrifiant et souhaitable en même temps. C'était l'objet de la convoitise et de courtisans et de la cible des envieux compétition.

Comme me concerne, j'ai été détaché de ce monde moral élevé sur les fondations de l'illusion et de l'arrogance. Plusieurs fois, j'ai disputaient avec mon père sur ma rupture totale de l'orbite dans laquelle il nage avec les membres de son clan et les amis qu'il avait recueillies en vertu de sa richesse matérielle élevée et l'influence prestigieuse.

Je ne vais pas nier le soin que notre clan nous entourait avec afin d'atténuer l'effet de ce triste événement. Mais dans ma conviction que l'incitation morale chargée d'esprit de supériorité et d'arrogance était derrière l'aide et la protection de notre clan, je me suis distancé de plus en plus de la façon dont ils comprennent la vie et la pratique de la religion.

Je suis resté dans cet état pendant un certain délai pendant lequel j'ai perdu une partie de mes nerfs et une grande partie de mon aîné appréciation de la sœur et l'admiration qui a accompagné sa vie avec moi depuis mon enfance.

Je me souviens qu'elle m'a attrapé alors que je sortais de ma chambre se dirige vers le jardin. Elle s'approcha de moi et mis la main sur mes épaules en les pressant en vigueur fixant ses yeux sur mes yeux l'espoir et se plaindre. Je n'étais pas capable alors d'arrêter les larmes qui coulaient de mes yeux chaud et abondant. C'était une attitude qui a surpris ma soeur qui criait: Kamal el-Din ce qui s'est passé pour vous? Je n'avais pas de réponse parce que je sentais que le silence suffira pour apaiser le cœur de ma sœur bien-aimée. Je me dégageai de son étreinte et descendis les escaliers menant au jardin. Elle me suivit et s'assit à côté de moi sous l'ombre d'un immense noyer.

Sakina voulait parler mais elle y renonça quand elle a entendu ma voix émanant de la profonde vallée de la réalité de mon cœur: "S'il vous plaît vous tranquilliser ma sœur. J'ai besoin de ces moments que vous considérez douloureux tandis que j'espère qu'ils vont éliminer tous mes liens avec la vie truquée. J'espère vivement que ma Eternel Dieu me le chemin dans lequel doivent être unifiés dans mes plus intimes les raisons de cette vie et l'au-delà sur le fondement de la satisfaction divine guider. Alors que la satisfaction d'Allah sera mon objectif, sa religion mon honneur, ma tranquillité sera dans Son obéissance et mon bonheur dans Son adoration, ma valeur sur la confiance en Lui et ma dignité en le respectant, son amour mon habitude, son culte ma nature , ma fierté d'être humble à Lui et mon honneur en étant soumis à ses ordres. "

Sakina a répondu: Vous Kamal el-Din n'est pas un citoyen de ce pays. Vous avez vous-même distancié très loin de nous. Elle a cessé de pleurer et dit: "Peut-être que vous pourriez nous laisser une partie de votre bon esprit pour nous consoler dans cette vie d'isolement mortel».

J'ai pris sa main et retourné avec elle à la maison.

Un sentiment qui m'a englouti atteindre les objectifs divins que j'aspire à vivre dans leurs horizons est une affaire possible dans l'exercice positif de la vie droite, que je devrais être là où Dieu Tout-Puissant aime me voir là, l'exécution de ses ordres, appelant à son obéissance, combattre pour lui. J'ai décidé de m'impliquer dans les questions de la vie et de confronter leurs dangers et conditions. courants de Rapture et l'exaltation retournés à notre maison qui a enflammé dans un mouvement persistant dans ses membres, un genre de vie plus élevé que la vie.

Deux ans à peine passés dans ce type de vie heureuse et heureux quand le mariage a arraché Sakina de moi. J'étais sur le point de retourner à mon isolement si ce n'est pour la miséricorde d'Allah et Sa lumière qui illuminait mon cœur.

Mais le destin en a été la construction d'une catastrophe au milieu de notre petite famille quand mon jeune frère a été tué par une balle insouciant à son retour de l'Université.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire