Le chemin vers la tombe

Le chemin vers la tombe

Quand balles ont été tirées à moi, je ne reconnais pas le criminel, mais j'ai discerné son identité très clairement ma position en dehors de mon corps. J'avais l'habitude de ressentir beaucoup de douleur en apprenant que des campagnes de détention exposaient mes parents, mon clan, mes compagnons de combat, civils et militaires à la mort.

J'ai survolé la tête du criminel qui souhaitent que je sois transformé en aigle prédateur pour l'arracher au point le plus profond dans l'espace et à partir de là le jetant à terre. Il était d'une telle impudence et moyenne dans la mesure où il a approché Sakina la consoler. Mon frère-frère était l'organisateur du complot assassiner et le tueur était un de ses hommes qui a été capturé par les combattants, torturés au point d'être nécessaire de le traiter à l'hôpital en attendant faire face au jugement.

J'ai remarqué que ma sœur a pu dissimuler son agonie, mais les signes d'une profonde douleur étaient clairement sur son visage. Mon cousin, Hayat, mouvements exécutés qui peine enflammées et des feux allumés au milieu de ces foules immenses. Elle s'approcha du cercueil et s'empara d'une bordure du couvercle blanc effacé avec le sang jeté sur le corps, la baisa et la mit sur ses yeux et tomba sur le sol inconscient. Son mari et ses parents se précipitèrent à la ranimer. Mais sur l'acquisition de la conscience, elle a répété ses actes. Je cherchais sur elle alors qu'elle embrassait le couvercle en souhaitant que je pourrais être capable de l'attirer à moi. Après un certain temps, les foules ont commencé à se retirer de la scène de la manifestation vers la place principale de la ville qui portait mon nom par la suite. Une voiture est arrivée à transporter mon corse à la place. Je l'ai suivi planant au-dessus à des moments et circulant entre les voitures condoling recherche pour les parents. Sakina et Hayat qui m'a vu voler entre eux et mon cadavre entonnant le serment d'unité répéter hymnes glorification et après la récitation du Coran Sacré diffusion de haut-parleurs installés au-dessus des voitures et des véhicules militaires irresponsables. Avant d'atteindre le carré, le comité organisateur a demandé à la procession de deuil de sortir des voitures et des véhicules et à marcher vers la place à pied. Là, le cercueil a été exposé entouré par les masses déchaînées qui bientôt en file d'attente pour les prières. J'ai prié avec eux et moi-même salué comme ils l'ont salué. Après les prières se terminaient le cercueil a été réalisée et l'immense procession se dirigea à pied. Je fuyait au cours de cette congestion à la recherche de Hayat alors je fuyait à la recherche de Sakina mais j'ai été empêché de s'approcher d'elle parce que son mari a été lui-même collé à elle. Alors que les foules ont couvert une partie de la distance qui nous séparait du cimetière, mes douleurs ont augmenté, ma peur sur les bien-aimés opprimés ma poitrine et mes sentiments d'être séparés de leur intensifié sa gravité. Quand je vivais encore, je me souviens quand une calamité s'est abattue sur moi que la mort est sa fin et disparaîtra d'elle tomber, mais ces douleurs n'ont personne pour les arrêter et je me suis dit: Pas de puissance et plus de force que par le recours à Allah le Tout Puissant .

Je suis arrivé à la procession le sol du cimetière. Je fuyait sur les tombes qu'il contenait la recherche de mon dernier repos jusqu'à ce que je l'ai trouvé, et diffuser son sol sur moi. Je l'ai laissé regarder rapidement pour Hayat et Sakina. Sentiments l'emportent sur moi que leur apparence est la dernière image de ma vie avec eux.

J'ai commencé à pleurer, crier et gémir, mais personne ne m'a attiré à ce que je faisais. Leurs yeux ont été épinglés vers le cercueil. Quand les hommes s'approchèrent pour transporter le cadavre et le poser dans la tombe, je me suis échappé pour Hayat essayer de revenir à la vie grâce à elle et entre ses bras comme si je l'ai supplié de ne pas me livrer à des épisodes de solitude long et douloureux.

Je fuyait de voir mon corps et j'ai vu qu'il portait encore des hommes et je suis retourné à ma vie sentiment douleur avec ceux qui sont affligés. Lorsque les hommes ont commencé à déposer le cadavre dans la fosse entre les lamentations, glorification d'Allah et de grands cris, j'ai commencé un mouvement non-stop et l'excitation de vol au-dessus du cadavre à l'endroit où elle a été Hayat isoler. J'ai été alarmé de voir le souci et la décroissance de cette belle jeune femme alors que j'étais habitué à voir son éclatement dans les mouvements et l'activité dans la mesure où on regardait pense que le soleil se lève de son front. J'ai regretté son malheur et se mit à tourner et tourner et dirigé ma tête vers elle pour reprendre mon nouveau tournant.

Je suis retourné au cadavre et a remarqué qu'il était couvert de sable et les hommes étaient des briques construction s'affairent autour de la tombe.

Avant je descendis à ma place à côté du cadavre, je me suis retrouvé à tourner la tête en disant adieu à l'endroit où se tenait ma cousine Hayat. Quand sable a été déversé sur mon cadavre, je me suis retrouvé en tournant la tête vers l'endroit où mon cousin Hayat était debout. Après le remplissage de ma tombe avec du sable j'ai senti que les gens ont commencé à quitter et ont entendu le bruit de leurs chaussures sur le trottoir.

J'ai entendu un léger bruit de nivellement du sol suivi d'un cri triste et le récit de la Fatiha. Puis un nivellement du sol à nouveau, comme si quelqu'un frappait à la porte. Je remarquai immédiatement un bruit de pas s'approchant du tombeau et la voix d'un homme disant: Allez Hayat. Sa réponse était claire: Permettez-moi pour l'amour de Dieu passer la nuit près de cette tombe. Mais tout le monde est parti et je suis retourné à ma demeure seul, sans un compagnon de dissiper ma solitude.