Le déluge

Après l'expiration de près de trois ans dans la vie du gouvernement secret, il se trouva debout sur un sol ferme, circulant dans un vide sur le terrain presque de difficultés ou d'obstacles. Cependant, il avait perdu beaucoup de ses membres et commanditaires grâce à des opérations d'assassinats exécutés par les services de sécurité du gouvernement. J'avais l'intention de ne pas remplacer un martyr avec un autre de ses collègues, de peur de l'exposer à l'assassinat. Nous avons supprimé notre colère et peu sur nos plaies jusqu'à ce qu'un jour vint où je sentais que les organisations et les forces promis le changement, le gouvernement secret ou qui restait de ses membres, ont perdu patience. Je considérais que ce fait est un signe que la révolution a atteint l'aube de son ascension et si je prends une attitude adéquate, la maison va s'effondrer sur ses habitants. J'ai adressé un appel à toutes les forces alliées et amies et a tenu avec eux une séance historique au cours de laquelle nous avons restauré la structure du gouvernement secret et mobilisé toutes nos capacités pour les utiliser sur un jour convenu à mars dans les rues. Avant de partir, chacun a donné son serment de combattre jusqu'à la victoire ou le martyre.

A l'aube du jour promis, un peloton de chasseurs soutenus par des véhicules blindés conduits par ceux qui sont affiliés à la Révolution, soldats et officiers de l'artillerie dirigeaient vers la station de radio et occupé après une bataille de deux heures avec les forces gouvernementales il garde . Ce matin, des gens se sont réveillés à l'intonation des versets de Coran Sacré diffusion de la station de radio.

Au lieu des programmes quotidiens de routine diffusées par la station de radio, à huit heures du matin, j'étais à la station de radio s'adressant à un appel à toutes les forces aériennes, terrestres et navales de rester dans leurs casernes pour servir la nation et pour lui permettre de choisir le système de gouvernement qu'ils souhaitent avoir. Je les ai invités à rester neutre dans la lutte dans la fidélité à leur religion et du pays et de continuer à servir leur peuple, de protéger leur liberté, de sécurité, de l'honneur et de l'indépendance.

J'ai fini mon intervention en adressant un appel au peuple dans les villes, les villages, dans chaque quartier ou le district de quitter leurs maisons et à verser dans les rues et de ne pas retourner dans leurs maisons jusqu'à ce que le sort du pays sera entre les mains d'Allah et dans Sa miséricorde. J'ai lu Allah dit: «La décision appartient à Allah seul qui vous a commandé de n'adorer que Lui sauver» (Joseph, 40).