Le glorieux Coran
Le Livre de Dieu
n’a quitté ma main que rarement, et quand il le faisait, il restait dans mon
esprit, dans mon for intérieur et dans mon conscient.
Le Coran a été
révélé d’une façon qui convenait aux esprits de son époque, qui ont accompagné
son inspiration. Il a été ensuite convenable aux esprits suivants malgré leur
croissance et puis, aux époques d’après, en dépit de leur développement, et il
a poursuivi son chemin dans l’état où il a été révélé, avec son secret qui lui a
été donné par Dieu.
Ce fut, en dépit
du temps, des siècles, des distances et des évolutions,… un voyage en toute
fidélité, une lumière d’avant-garde, un repère guide, que rien n’a entamé ni
modifié,[1] une révélation d’un sage
digne d’éloges.[2]
[1] Les hommes ne
l’ont pas dénaturé comme ce fut le cas de la Torah ou des Évangiles, grâce à
Dieu et à sa promesse de le sauvegarder : « Nous avons fait
descendre le Rappel, nous en sommes les gardiens » [Al-Hijr, 9]. Une
promesse que Dieu n’a pas faite, à la Torah et aux Évangiles, ce qui les a
dénaturés.
[2] Le Livre restera
toujours jusqu’à ce que l’heure se lève ; et en dépit des incrédules, des
polythéistes, des pervers et des athées. « Voici le Livre, il ne
renferme aucun doute. Il est une direction pour ceux qui craignent Dieu » [La
Vache, 2].
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire