vendredi 2 août 2013

Le glorieux Coran

Le glorieux Coran

Le Livre de Dieu n’a quitté ma main que rarement, et quand il le faisait, il restait dans mon esprit, dans mon for intérieur et dans mon conscient.

Le Coran a été révélé d’une façon qui convenait aux esprits de son époque, qui ont accompagné son inspiration. Il a été ensuite convenable aux esprits suivants malgré leur croissance et puis, aux époques d’après, en dépit de leur développement, et il a poursuivi son chemin dans l’état où il a été révélé, avec son secret qui lui a été donné par Dieu.

Ce fut, en dépit du temps, des siècles, des distances et des évolutions,… un voyage en toute fidélité, une lumière d’avant-garde, un repère guide, que rien n’a entamé ni modifié,[1] une révélation d’un sage digne d’éloges.[2]



[1] Les hommes ne l’ont pas dénaturé comme ce fut le cas de la Torah ou des Évangiles, grâce à Dieu et à sa promesse de le sauvegarder : « Nous avons fait descendre le Rappel, nous en sommes les gardiens » [Al-Hijr, 9]. Une promesse que Dieu n’a pas faite, à la Torah et aux Évangiles, ce qui les a dénaturés.
[2] Le Livre restera toujours jusqu’à ce que l’heure se lève ; et en dépit des incrédules, des polythéistes, des pervers et des athées. « Voici le Livre, il ne renferme aucun doute. Il est une direction pour ceux qui craignent Dieu » [La Vache, 2].

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